"POR UN PLANETA LIBRE DE CONTAMINACION"

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HOW TO BONSAI WIRING


LA ECOLOGIA Y EL MEDIO AMBIENTE

LES SOURCES DE POLLUTION AU MEXIQUE

 


 

En tant que résultat de siècles d’exploitation minière au Mexique et, plus tard, en raison de l’industrie chimique de base, de la pétrochimie et le raffinage du pétrole, il ya eu de très grandes quantités, mais très difficile à quantifier, des déchets dangereux. Ajouté à cela, l’intense activité dans d’autres industries, ainsi que des accidents durant le stockage, le transport ou le transfert de substances (les fuites, les déversements, les incendies) et l’élimination illégale et incontrôlée des déchets, contribuant ainsi grandement à la contamination des sols ( SEMARNAT, 2002). Le nombre de sites contaminés, même dans les estimations les plus prudentes, les montants à plusieurs milliers de zones à risque potentiels est inconnue. Selon les données publiées par l’INEGI (2000), la surface des sols dégradés par des causes de la pollution en 1999 était de 25.967 km2.


Tous les événements qui sont impliqués substances qui impliquent un certain risque pour l’environnement ou de la population et qui peuvent générer de la pollution des sols et des plans d’eau sont connus comme les urgences environnementales. Selon les statistiques du procureur fédéral à la protection de l’environnement (PROFEPA) surviennent chaque année au Mexique en moyenne de 550 urgences environnementales associés aux matières dangereuses et des déchets. Dans les ingrédients dangereux les plus fréquemment impliqués dans les urgences environnementales sont le pétrole et dérivés du pétrole (essence, mazout, diesel), les produits chimiques, le GPL et le naturel, entre autres (figure 2).

Figure 2. Principales substances impliquées dans les urgences environnementales signalés à la PROFEPA entre 1997 et 1999 (PROFEPA, 2002).

Parmi les polluants identifiés comme prioritaires au Mexique en raison de sa forte toxicité et leur persistance dans l’environnement, sont les suivantes: les dioxines, les furanes, l’hexachlorobenzène, les biphényles polychlorés (BPC), les pesticides organochlorés, le mercure, le plomb, le chrome, le cadmium, hydrocarbures toxiques dans l’air et composés aromatiques polycycliques (HAP). Parmi ceux-ci, des composés tels que les PCB ont été stockés dans des fûts, dans de nombreux cas ont été éliminés illégalement. Pour sa part, les HAP se trouvent en tant que composants d’hydrocarbures pétroliers totaux (TPHs).


Comme mentionné précédemment, dans tout le pays il ya des problèmes de pollution ne sont pas précisément quantifiés. Cependant, on peut citer les problèmes de pollution qualitativement générés par l’utilisation de produits chimiques, les engrais (en particulier l’azote) et de pesticides (fongicides, herbicides et insecticides) qui résultent de déversements et de fuites de carburants (huile et dérivés) ainsi que ceux liés aux activités minières dans les premiers stades de l’extraction et le traitement des matériaux obtenus (INEGI-SEMARNAP, 1997). Voici quelques-unes des principales sources de pollution des sols au Mexique.

Industrie pétrochimique


L’industrie pétrochimique au Mexique s’est développée rapidement, générant diverses satisfactions économiques. Toutefois, son expansion et le développement a également donné lieu à de graves problèmes environnementaux découlant de situations d’urgence environnementale, avec des conséquences graves pour la santé de la population et l’équilibre écologique des écosystèmes (Quadri, 1994; PROFEPA, 2000). Parmi les causes qui ont généré cette dégradation de l’environnement par la pollution des masses d’eau et des sols dans tout le pays, sont les suivantes: (i) une mauvaise manipulation et l’abandon de matières dangereuses et des déchets, (ii) un mauvais entretien ou absence de contre les installations pétrolières, (iii) les explosions dans les installations à haut risque, (iv) des fuites dans les pipelines, (v) déversement de pétrole (CENAPRED, 2001; PROFEPA, 2002).


Dans l’inventaire des déchets dangereux de PEMEX en 2001 a signalé la production de plus de 270 mille tonnes de déchets dangereux. Environ 86% du volume total de ces déchets, il est pour les boutures et les boues de forage (72%), les boues d’huile (8%) et les huiles usées (6%).


En ce qui concerne les déversements et les fuites de pétrole, PEMEX rapporte qu’en 2001 il y avait un total de 8.031 tonnes d’hydrocarbures (pétrole, diesel et essence) répandus sur la terre la plupart du temps dans les quatre secteurs des produits de pays (PEMEX, 2001). Ce dernier chiffre est important car de cette façon on peut estimer le degré de contamination des sites à proximité de la marée noire. L’un des États avec la plus forte incidence des sites contaminés par les activités pétrolières est de Veracruz. Selon les informations de PEMEX, deux de la raffinerie nationale de pétrole les plus polluées sont les «Lazaro Cardenas» et le barrage de «Santa Alexandrina», tous deux situés dans le sud-est du Mexique.

L’industrie minière


L’exploitation minière est l’une des activités les plus économiques traditionnelles au Mexique, ce qui contribue grandement au développement économique, apportant une contribution à un certain nombre d’industries (construction, métallurgie, sidérurgie, chimie et l’électronique). Selon les informations de la Direction Générale des Mines, de l’industrie minière est le plus souvent en métal, et est principalement engagée dans la production de cuivre, de zinc, d’argent et de plomb.


Des sites en raison du développement et de modernisation dans l’extraction et la transformation des ressources minérales et la production de grandes quantités de déchets à partir de ses processus, l’industrie minière au Mexique pendant des décennies a généré beaucoup de déchets et contamination dans tout le pays. La production minière au Mexique est concentrée dans douze entités: Chihuahua, Michoacán, Zacatecas, Durango, Sonora, Coahuila, Guanajuato, San Luis Potosi, Hidalgo, Sinaloa, Colima et Jalisco. Le tableau 1 résume les étapes de procédés d’extraction et de leur relation en termes d’impact sur l’environnement.


Tableau 1. Liste de l’exploitation minière et de son impact sur l’environnement.

Phase Description Impact sur l’environnement
Exploration Forage, et les travaux de forage. Destruction de la végétation
Exploitation   Des œuvres variées: tir, les tunnels, les patios de gîtes minéraux, des zones de déchargement de matériaux   Opérations de résidus de barrage: Drag de déchets dangereux.
Les eaux usées
Profiter    Concentration
Concassage et le broyage
Les traitements antérieurs
La génération de bruit
Vibrations et les émissions de poussières  
Fonte et affinage   Obtention des métaux et leurs alliages (utilisation de fours industriels)
L’élimination des impuretés dans les métaux pour augmenter la loi contenu
Les émissions atmosphériques, les déchets dangereux et des eaux usées  

Source: Ministère des Mines, sous-secrétaire des Mines, SEMIP, 1994.

En général, toutes les étapes, y compris un processus d’exploitation minière, à l’exception de l’exploration, ce qui implique des études préliminaires, de générer à fort impact des problèmes environnementaux. Comme on le voit, à tous les stades d’eaux usées est généré, les déchets dangereux, et, dans certains cas, les émissions atmosphériques. Cependant, deux des étapes qui sont plus de pollution produite à partir de l’exploitation minière et de fusion / raffinage.


Agrochimie


L’utilisation excessive de produits agrochimiques, ainsi que la manipulation et l’élimination inadéquate de leur emballage, a été un problème très répandu au Mexique. La plupart des pesticides utilisés dans le pays à ce jour, ont été interdits dans d’autres pays en raison de sa toxicité. Toutefois, le nombre de pesticides est augmenté à un taux de 10% par an. Cela a permis le nombre de produits qui entrent en contact avec la population augmenter de plus de six fois (CICOPLAFEST, 2000).


Les pesticides sont le nom générique qui reçoit toute substance ou mélange de substances utilisées pour contrôler les ravageurs des cultures ou des insectes qui sont des vecteurs de la maladie. Selon leur composition chimique sont classées comme insecticides (organochlorés, organophosphorés, pyréthrinoïdes et aux carbamates), les herbicides (triazines et dinitrophénols) et fongicides (phénols et de composés de cuivre et de soufre) (CICOPLAFEST, 1996).


Toutes ces substances sont des produits chimiques toxiques et leur application à des terres cultivées sont évidemment composés trouvés en tant que contaminants de grandes étendues de terres à travers le pays. Au Mexique sont encore dans les pesticides organochlorés marché comme le 2,4-dichloro-phénoxyacétique (2,4-D), le pentachlorophénol (PCP) et le dicofol, en plus de pesticides à base de carbamates et organophosphorés comme le malathion.

Les stations-service


Produits à combustible comme l’essence, le diesel, le mazout, diesel, gaz de pétrole liquéfié et de l’air sont produites et distribuées au Mexique pour PEMEX. La distribution au détail de l’essence et le diesel, est effectuée dans les stations-service (stations d’essence). L’un des risques environnementaux concernant la gestion de cesstations sont les déversements ou les fuites de carburants qui provoquent la pollution des sites où les réservoirs de stockage (CENAPRED, 2001).


Chemins de fer


Un autre entreprises d’Etat a contribué à la contamination des sols et des eaux, est Chemins de fer nationaux, qui a été caractérisé par la génération de l’huile usée. La principale raison pour laquelle cette société a causé la contamination du sol est un mauvais entreposage des déchets et des combustibles tels que l’huile de créosote et utilisés (PROFEPA, 2002).

Élimination des déchets dangereux


En raison de l’augmentation du volume de déchets dangereux générés dans notre pays et les capacités existantes en matière de gestion présente souvent l’élimination clandestine de ces dans des lieux différents (dépotoirs municipaux, les terrains vagues, les chantiers, les entreprises, les drains), provoquant une augmentation dans les sites contaminés par des substances dangereuses à la fois organiques et la nature inorganique. Par exemple, en 1980 la mine (Nuevo Mercurio, Zacatecas) Rosicler, ont été trouvés abandonnés des centaines de fûts contenant des déchets dangereux, tels que le chlorure de mercure, des mélanges de produits chimiques et les PCB. Il contient des informations que le contenu de plusieurs des tambours a été renversé accidentellement ou délibérément.


Le tableau 2 montre une liste des sites illégaux et / ou abandonnés, qui ont été détectés par PROFEPA dans la période de 1995 à 1997, où les déchets dangereux ont été mis au rebut provenant de diverses industries (Kreiner, 2002).


Tableau 2. Types de déchets dangereux qui se trouvent comme des polluants majeurs dans les sites abandonnés et / ou illégales dans plusieurs états du Mexique.

État
Le nombre de sites
* Déchets Major
Baja California Norte
8
Huiles, métaux, de la poussière de fonderie, des solvants
Baja California Sur
2
Fonderie scories, les résidus
Campeche
4
Huiles, boues de forage
Chiapas
17
Hydrocarbures, pesticides, solvants
Chihuahua
13
Huiles, hydrocarbures, produits chimiques
Coahuila
15
Huiles, hydrocarbures, résidus, métaux, produits chimiques
Durango
3
Insecticides d’hydrocarbures
État de Mexico
10
Huiles, laitier, produit chimique
Guanajuato
10
Huiles, laitier, les boues, les métaux, les organochlorés
Noble
6
Laitier, des peintures
Jalisco
7
Le carburant diesel, piles, boues, produits chimiques
Nayarit
5
Hydrocarbures, résidus
Nuevo Leon
22
Huiles, les cyanures, laitier, du pétrole, des métaux
San Luis Potosi
10
Amiante, de la fonderie de scories, boues, métaux, peintures
Sinaloa
4
Agrochimie
Tamaulipas
8
Huiles, laitier, produit chimique
Veracruz
8
Soufre, les hydrocarbures
Zacatecas
9
Résidus, métaux, produits chimiques
TOTAL
161

* Aucune mention de déchets biologiques et infectieux
SOURCE: Rapport triennal PROFEPA 1995 -1997, 1998.

Dans la période 1995 à 1997, 161 ont été trouvés contaminés par des sites abandonnés des déchets dangereux dans les 18 États de la République. Toutefois, on estime que le nombre de ces sites contenant des déchets dangereux, est beaucoup plus grande et est inconnue. Depuis 1988, plus de 27 000 entreprises se sont conformées à l’obligation d’informer la production de déchets dangereux. Cependant, l’univers inconnu de générateurs qui ne déclarent pas leurs déchets et en disposer illégalement, et il est estimé que l’univers potentiel est supérieur à 100.000 (Mosler, 2002).


Selon cette information dans les déchets dangereux ont trouvé le plus souvent trouvé dans déversement illégal de déchets de l’industrie minière (stériles, les métaux et fonderie laitier) et les produits pétrochimiques (hydrocarbures et produits chimiques), ainsi que les huiles utilisées à partir de garages.

CONTAMINACION ATMOSFERICA EN ESPAÑA

Asesores Industriales Ambientales

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La calidad del aire en las ciudades españolas es mala y provoca la muerte prematura anual de miles de ciudadanos y daños sobre el medio ambiente

– Imagen: Lucia Maldonado-Medina -La «boina» de contaminación en Madrid ha sido una de las noticias estrellas de los últimos días. La alarma social ha destacado un problema que perjudica a diario al medio ambiente y la salud de todos los españoles. Y es que, como señalan diversos estudios y organizaciones, la calidad del aire en España es mala. Sus consecuencias: diversos daños sobre el medio ambiente y la muerte prematura de miles de ciudadanos. Los coches, en especial los diésel, son uno de los principales causantes de la contaminación del aire urbano. Los tubos de escape son la parte más letal de los vehículos. Sus gases provocan siete veces más fallecidos que los accidente de tráfico.
Salta la alarma

El culpable es un gas de la familia de los óxidos de nitrógeno (NOx), el dióxido de nitrógeno (NO2). La normativa ambiental señala unos topes que no se deben superar más de 18 horas al año. Sin embargo, las estaciones de control de algunas zonas de Madrid ya han rebasado los límites anuales a estas alturas de febrero. En otras ciudades, como Barcelona o Valencia, también se han registrado valores elevados.

El origen de este gas puede ser natural (descomposición bacteriana de nitratos orgánicos, combustión vegetal o actividad volcánica), pero el problema en las ciudades lo ha causado el tubo de escape de los vehículos, sobre todo diésel. Tampoco hay que olvidar la combustión del carbón, petróleo o gas natural, el uso de fertilizantes, los residuos de origen humano y animal, y diversos procesos industriales como otra fuente importante de NOx.

Las estaciones de control de algunas zonas de Madrid ya han rebasado los límites anuales a estas alturas de febrero

En cuanto a la famosa «boina» o «smog», esa niebla de suciedad que ha alertado a los ciudadanos, Ángel Rivera, responsable de comunicación de la Agencia Estatal de Meteorología (AEMET) explica que se ha debido a la denominada «inversión térmica». Las altas presiones forman una tapadera, de manera que el aire frío se queda en las capas bajas. Como la capa superior está más caliente, la que tiene temperaturas más bajas y en la que se mezclan los gases tóxicos no puede ascender, de manera que concentra la masa oscura de polución.

Según Rivera, es un fenómeno bastante típico de invierno, en especial en diciembre y enero, pero también en febrero, como ya ocurrió en 1990, 1993 o 2000. En esas fechas, al igual que en 2011, casi no llovió por la persistencia de un anticiclón. Por ello, aunque en esta ocasión las lluvias ayuden a disipar la capa de polución, no sería extraño volver a sufrir una situación similar en los próximos meses.

El Observatorio de la Sostenibilidad de España (OSE) recuerda que algunas condiciones meteorológicas provocan que la contaminación atmosférica en España sea peor que en otras partes de Europa. La mayor radiación solar favorece las reacciones con los gases de escape de los vehículos, la resuspensión de partículas por escasez de lluvia, la recirculación de contaminantes, etc.
La calidad del aire en España es mala y mata

Un informe de Ecologistas en Acción asegura que el 84% de los españoles respira un aire peor que los índices de protección a la salud recomendados por la Organización Mundial de la Salud (OMS). La ONG realiza este estudio desde hace años y se basa en los datos de las redes de medición de la contaminación de las comunidades autónomas.

– Imagen: Yarik Mission -Otros estudios muestran datos similares. Según estimaciones de la Universidad Politécnica de Madrid (UPM), el 75% de la población está sometida a elevadas concentraciones contaminantes. Un estudio de la Universidad Politécnica de Cataluña (UPC) y del Barcelona Supercomputing Center (BSC) asegura que Barcelona y Madrid son las ciudades con el aire más contaminado.

Pero la situación podría ser incluso peor. En los últimos días se ha acusado a algunos ayuntamientos de maquillar los datos, con trucos como el traslado de las estaciones de control a parques o zonas verdes urbanas menos perjudicadas por los gases de los coches. La Fiscalía de Medio Ambiente ha anunciado el inicio de una investigación independiente, a cargo del Servicio de Protección de la Naturaleza de la Guardia Civil (Seprona), para comprobarlo.

El 84% de los españoles respira un aire peor que los índices de protección a la salud recomendados por la OMS

Las consecuencias de esta polución se traducen, según el Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural y Marino (MARM), en 16.000 muertes prematuras anuales en España. La Sociedad Española de Neumología y Cirugía Torácica (SEPAR) coincide en la cifra y recuerda que son siete veces más que los fallecidos en accidente de tráfico. La Agencia Europea del Medio Ambiente (AEMA) señala que la contaminación del aire puede reducir la esperanza de vida de los europeos hasta en tres años. La Comisión Europea calcula que, en términos de salud humana, causa a la economía europea un gasto de entre 427.000 y 790.000 millones de euros anuales.

Un estudio publicado en el ‘Journal of Epidemiology and Community Health’ ofrecía datos sobre mortalidad prematura y contaminación del aire. Sus responsables analizaban diversas ciudades europeas, incluidas varias españolas. El informe señalaba que cada año mueren en Madrid más de 25.600 personas mayores de 30 años, en Barcelona más de 16.300, en Bilbao más de 6.000 y en Sevilla más de 5.600.

El OSE explica que la contaminación del aire afecta a la salud de todos los ciudadanos, aunque de manera especial a los más sensibles (niños, ancianos, mujeres embarazadas y afectados por asma, bronquitis o enfermedades cardiovasculares). Traducido en términos económicos, la mala calidad del aire ocasiona en España un gasto sanitario estimado en unos 16.839 millones de euros.

El OSE señala a varios responsables del aumento de esta polución. El número de vehículos privados, y con ello sus emisiones contaminantes, se ha disparado: en la década de los setenta había unos siete millones de vehículos. En la actualidad hay más de 27 millones. El crecimiento urbano, basado en el vehículo privado, ha propiciado este espectacular incremento: de 4,5 millones de turismos se ha pasado a más de 20 millones.

– Imagen: mcfarlandmo -La producción industrial y energética es otro de los principales causantes. Desde el OSE reconocen que la industria se ha vuelto menos pesada en los últimos años, pero aseguran que todavía tiene un importante impacto: unos dos millones de personas estarían sometidas a este tipo de contaminación. En cuanto a la generación de energía, estos especialistas recuerdan el impacto de las emisiones de azufre al quemar carbón o las emisiones de NOx de las centrales de ciclo combinado.

No obstante, Ecologistas en Acción reconoce que los datos son algo mejores que en años anteriores. Las causas de esta evolución favorable se deberían, según esta ONG, a una meteorología más inestable, que dispersa la polución, y a la crisis, que ha disminuido la actividad de los principales focos contaminantes.
Cómo afecta a la salud la contaminación atmosférica

La SEPAR asegura que la comunidad científica no tiene dudas sobre la correlación entre contaminación atmosférica y salud cardiovascular. El NO2 puede afectar al aparato respiratorio, irritar la piel y las mucosas, aumentar la predisposición a infecciones virales, frenar el crecimiento y provocar diversas lesiones. Los síntomas típicos de la intoxicación aguda son ardor y lagrimeo de los ojos y tos. Puede provocar incluso la muerte.

Hay más alérgicos que nunca debido al cóctel explosivo que forman polen y contaminación por partículas diésel

Desde el Comité de Aerobiología de la Sociedad Española de Alergología e Inmunología Clínica (SEAIC) señalan que hay «más alérgicos que nunca debido al cóctel explosivo que forman polen y contaminación por partículas diésel». Destacan que estas partículas son capaces de multiplicar por 27 la capacidad de un polen de ser alérgico. Y recuerdan que un 60% de los vehículos que circulan en una gran ciudad como Madrid funcionan con diésel, mientras que hace veinte años era un 25%.

Por si fuera poco, las altas temperaturas han adelantado la polinización y se registran micropartículas en el aire de niveles propios de finales de marzo. En febrero, lo normal son 50 partículas por metro cúbico de aire, mientras que las últimas mediciones han registrado 1.000. Además, se ha conocido gracias a un estudio realizado por un equipo de investigadores europeos, que los NOx son los causantes de la reducción de la capa de ozono.
Cuidado con el ozono «malo»

Los NOx pueden reaccionar con compuestos orgánicos volátiles y producir el denominado ozono terrestre o troposférico (ubicado en la capa más baja de la atmósfera, entre 0 y 17 kilómetros). Mientras que la capa de ozono, situada en las zonas altas de la atmósfera, protege de los letales rayos ultravioleta, el ozono troposférico es un peligroso agente tóxico que afecta la salud y se convierte en un gas de efecto invernadero, aunque su presencia es inferior a la de los principales gases, como el dióxido de carbono (CO2) o el metano. En verano se registra el mayor incremento en la concentración de este tipo de ozono.

– Imagen: Sean carpenter -En 2008, el Perfil Ambiental de España de la Secretaría de Estado de Cambio Climático señalaba que algunos de los principales contaminantes superan los valores legales en las ciudades españolas. Sus responsables consideraban «preocupante» el incremento de algunos de estos elementos, entre ellos el ozono troposférico.

El ozono troposférico provoca la irritación de las mucosas y los tejidos pulmonares, dolores de cabeza y pecho, etc. Su poder oxidante daña diversos materiales tanto naturales, como el caucho, el algodón y la celulosa, como pinturas o plásticos.

El problema podría agravarse en los próximos años. Según un estudio de la Organización para la Cooperación y el Desarrollo Económico (OCDE), si no se toman medidas, el ozono troposférico causará en zona urbana dentro de dos décadas casi 30 muertes prematuras por cada millón de habitantes (hoy en día provoca nueve muertes).
Las partículas finas, otro de los peores contaminantes

Los peores contaminantes, según el informe de la Comisión Europea «Estrategia temática sobre la contaminación atmosférica», son el citado ozono troposférico y las partículas contaminantes finas (PM).

Las PM se dividen en dos grandes grupos. Las PM10 miden entre 2,5 y 10 micrómetros (son entre 25 y 100 veces más delgadas que un cabello humano), mientras que las PM2,5 son inferiores a 2,5 micrómetros. Las más nocivas son las más pequeñas, ya que permanecen en el aire más tiempo, viajan más lejos y pueden afectar a más partes internas del organismo.

La gran mayoría de los países europeos, entre ellos España, incumplen la legislación comunitaria para ambos tipos de partículas finas. Instituciones europeas como el Tribunal de Justicia de la UE o la Comisión Europea han llamado la atención a España en más de una ocasión por sobrepasar el límite autorizado y no tomar las medidas necesarias para reducir su impacto.

En España, el tráfico rodado provoca entre un 40% y un 60% de la polución por partículas en suspensión en las ciudades, según un estudio del Ministerio de Medio Ambiente y del CSIC. Pero no es el único foco emisor. Las actividades industriales, la agricultura o las calefacciones domésticas también son culpables. En menor proporción, algunos causantes son naturales, como el polvo africano, el aerosol marino, la materia mineral natural del suelo o las emisiones forestales.

En el caso de España, la situación es peor, sobre todo en las ciudades mediterráneas, según el investigador del CSIC Xavier Querol. Factores como la intensidad del viento y de la radiación solar, la escasez de lluvias, el diseño de las ciudades (edificios altos y calles estrechas) o la falta de vegetación y zonas verdes, acumula estos contaminantes.

Los efectos sobre los ciudadanos son muy diversos. Una vez inhaladas, pueden incrementar la tasa de mortalidad por enfermedades respiratorias, cardiovasculares y cancerígenas, según la Organización Mundial de la Salud (OMS). En altas concentraciones se relacionan con el aumento de nacimientos prematuros y la mortalidad infantil, los casos de asma, neumonía, bronquitis y enfermedad pulmonar obstructiva crónica, así como los ingresos hospitalarios y las visitas a urgencias por exacerbaciones de enfermedades cardiovasculares y respiratorias. Se estima que las partículas finas, junto con el ozono troposférico, son responsables de la muerte prematura de unas 370.000 personas en la UE cada año.

Los ciudadanos no están a salvo en el interior de sus hogares, sino más bien al contrario. Un artículo publicado en 2009 en la revista ‘Environmental Health Perspectives’ señalaba un aumento de los niveles de partículas contaminantes en interiores y la gravedad de los síntomas de asma entre los niños. Los responsables del estudio, un equipo de la Universidad Johns Hopkins, indicaban que en muchos casos el nivel de estas partículas finas era dos veces superior al aceptado por la Agencia de Protección Ambiental de Estados Unidos (EPA) para la contaminación al aire libre.
Los NOx y la «lluvia ácida

Cuando los NOx y el dióxido de azufre (SO2) reaccionan con el oxígeno de la atmósfera y se disuelven en el agua de lluvia, forman ácidos sulfúrico y nítrico. El viento puede llevar estos corrosivos elementos a miles de kilómetros antes de precipitarse en forma de lluvia, rocío, granizo, nieve o niebla, e incluso en forma de gases. Es la «lluvia ácida».

Este fenómeno causa diversos daños en el medio ambiente y los seres humanos. El agua se vuelve más ácida y puede provocar la desaparición de la vida animal y vegetal de lagos, canales y ríos, afectar a los árboles y a la fertilidad del suelo, o el declive de la biodiversidad por fenómenos como la eutrofización.

Las emisiones de SO2 y NOx también atacan a edificios antiguos y nuevos, en especial de caliza y piedra arenisca. El Partenón ha sufrido más el efecto de la erosión en los últimos 30 años que durante los 2.400 anteriores. En España, el tesoro pictórico del museo del Prado ha acelerado su deterioro a causa de esta contaminación.

ISO 14000

Asesores Industriales Ambientales

«LA EXCELENTE ADMINISTRACION AMBIENTAL NOS UNIFICA CON NUESTRO ENTORNO NATURAL»

 

8. Principios De Las Normas Iso 14000

Todas las normas de la familia ISO 14000 fueron desarrolladas sobre la base de los siguientes principios:

Deben resultar en una mejor gestión ambiental; deben ser aplicables a todas las naciones; deben promover un amplio interés en el publico y en los usuarios de los estándares; deben ser costo efectivas, no prescriptivas y flexibles, para poder cubrir diferentes necesidades de organizaciones de cualquier tamaño en cualquier parte del mundo; como parte de su flexibilidad, deben servir a los fines de la verificación tanto interna como externa; deben estar basadas en conocimiento científicos; y por sobre todo, deben ser practicas, útiles y utilizables

9. Beneficios De Las Normas Iso 14000

Para negocios, la adopción extendida de Normas Internacionales significa que los proveedores pueden basar el desarrollo de sus productos y servicios contra los datos específicos que tienen la amplia aceptación en sus sectores. Esto, a su turno, significa que los negocios que usan Normas Internacionales son cada vez más libres de competir sobre muchos más mercados en el mundo entero.

Para clientes, la compatibilidad mundial de tecnología que es alcanzada cuando los productos y servicios son basados en Normas Internacionales les trae una cada vez más amplia opción de ofertas, y ellos también se benefician de los efectos de competencia entre proveedores.

Para gobiernos, Las Normas Internacionales proporcionan las bases tecnológicas y científicas que sostienen la salud, la legislación de seguridad y ambientales.

Para países en vía de desarrollo, las Normas Internacionales constituye una fuente importante de know-how tecnológico, definiendo las características que se esperan de los  productos y servicios para encontrarse sobre mercados de exportación, Normas Internacionales da una base a países en vía de desarrollo para hacer las decisiones derechas invirtiendo sus recursos escasos y así evita malgastarlos.

Para consumidores, la conformidad de productos y servicios a las Normas Internacionales proporciona el aseguramiento sobre su calidad, seguridad y la fiabilidad.

Para cada uno, Normas Internacionales pueden contribuir a la calidad de vida en general asegurando que el transporte, la maquinaria e instrumentos que usamos es sano y salvo.

Para el planeta que habitamos,  Porque hay Normas Internacionales sobre el aire, el agua y la calidad de suelo, y sobre las emisiones de gases y la radiación, podemos contribuir a esfuerzos de conservar el ambiente.

La ISO desarrolla sólo aquellas normas para las que hay una exigencia de mercado. El trabajo es realizado por expertos por el préstamo de los sectores industriales, técnicos y de negocio que han pedido las normas, y el que posteriormente los ponen para usar. Estos expertos pueden ser unidos por otros con el conocimiento relevante, como los representantes de agencias de gobierno, organizaciones de consumidor, la academia y laboratorios de pruebas. Enfadado internacional de expertos en el campo.

10. Requisitos Para la Implementación Y Actualización de la Norma ISO 14000

1. Autoevaluación Inicial de Gestión Ambiental

Autoevaluación de su capacidad de gestión, fortalezas y oportunidades. Lo cual permitirá saber en la posición en que se encuentra la empresa para desarrollar un Sistema de Gestión Ambiental (en adelante SGA), o bien, verificar el grado de avance – si ya se encuentra en etapas avanzadas -.

2 Compromiso y Política

Definición de Política. En este punto están contenidas todas las características de la Política Ambiental.

3 Planificación

La organización deberá formular un plan para cumplir su Política Ambiental. Para ello se requiere de:

3.1 Identificación y Registro de los aspectos ambientales y evaluación de los impactos ambientales.

3.2 Requisitos Legales

3.3 Criterio de comportamiento interno

3.4. Establecer Objetivos y Metas Ambientales:

3.5 Desarrollo de un Programa de Gestión Ambiental

4 Implementación

La organización debe desarrollar capacidades y apoyar los mecanismos para lograr la política, objetivos y metas ambientales, para ello, es necesario enfocar al personal, sus sistemas, su estrategia, sus recursos y su estructura.

5 Medición y Evaluación

5.1 Se debe medir y monitorear el comportamiento ambiental para compararlo con los objetivos y metas ambientales.

6. Revisión y Mejoramiento

Esta instancia comprende tres etapas: Revisión, Mejoramiento y Comunicación.

6.1 La revisión del SGA permite evaluar el funcionamiento del SGA

6.2 El Mejoramiento Continuo es aquel proceso que evalúa continuamente el comportamiento ambiental, por medio de sus políticas, objetivos y metas ambientales.

6.3 La Comunicación externa adquiere relevancia, dado que, es conveniente informar a las partes interesadas los logros ambientales obtenidos.

11. ISO 14000: ARGENTINA

12. ISO 9000 vs. ISO 14000

El ISO 14000 y el ISO 9000 comparten principios comunes relacionados con los Sistemas de Gestión. Sin embargo, la aplicación de los mismos está determinada por los objetivos buscados y las diferentes partes interesadas. Mientras que los Sistemas de Gestión de la Calidad (SGC) tratan las necesidades de los clientes, los Sistemas de Gestión Ambiental (SGA) están dirigidos hacia las necesidades de un amplio espectro de partes interesadas y las necesidades que se desarrollan en la sociedad por la protección ambiental.

Para el ISO 9000, el cliente es quien compra el producto, para el ISO 14000 son las «partes interesadas», donde éstas incluyen desde las autoridades públicas, los seguros, socios, accionistas, bancos, y asociaciones de vecinos o de protección del ambiente. En cuanto al producto, para el ISO 9000 el producto es la calidad, es decir, es un producto intencional resultado de procesos o actividades. Para el ISO 14000 los productos son no intencionales como los residuos/contaminantes.

Aún no es posible saber con exactitud el costo de este tipo de certificación, pero comparándola con la certificación ISO 9000 se puede concluir que la ISO 14000 debería ser más costosa, primero por razones de amplitud de la norma, ya que el área de investigación para determinar posibles impactos ambientales sobrepasa los límites físicos de la empresa (El medio ambiente en este contexto se extiende desde dentro de la organización hasta el sistema global). Además, muchas empresas deberán invertir en tecnologías limpias, incluso para cumplir con los planes de descontaminación.

13. Norma ISO 14001

La única norma de requisitos (registrable/certificable) es la ISO 14001. Esta norma internacional la puede aplicar cualquiera organización que desee establecer, documentar, implantar, mantener y mejorar continuamente un sistema de gestión ambiental.

Los pasos para aplicarla son los siguientes:

La organización establece, documenta, implanta, mantiene y mejora continuamente un sistema de gestión ambiental de acuerdo con los requisitos de la norma ISO 14001:2004 y determina como cumplirá con esos requisitos.

La organización planifica, implanta y pone en funcionamiento una política ambiental que tiene que ser apoyada y aprobada al máximo nivel directivo y dada a conocer tanto al personal de la propia organización como todas las partes interesadas. La política ambiental incluye un compromiso de mejora continua y de prevención de la contaminación, así como un compromiso de cumplir con la legislación y reglamentación ambiental aplicable.

Si la organización desea registrar su sistema de gestión ambiental: Contrata una entidad registradora debidamente acreditada (ante los distintos organismos nacionales de acreditación) para que certifique que el sistema de gestión ambiental, basado en la norma ISO 14001:2004 conforma con todos los requisitos de dicha norma

14. Ventajas de Certificación

Da valor agregado ante los clientes.

Mejora en el cumplimiento de los requisitos ambientales legales.

Reduce los riesgos ambientales y permite prepararse adecuadamente para evitarlos. Acceso a obtener incentivos económicos.

Prevenir la contaminación y reducir los desechos en forma rentable.

Mejora de la imagen ante la comunidad que los rodea, ante los trabajadores y ante las administraciones públicas, al poner de manifiesto una serie de controles y supervisiones, según criterios medioambientales propios del centro, de sus instalaciones, procesos y productos

15. ¿A quién se le aplica ISO 14001?

Es aplicable a cualquier organización que desee, independientemente del tipo, tamaño y condiciones geográficas, culturales y sociales:

Implementar, mantener y mejorar su Sistema de   Gestión  Ambiental.

Garantizar, por si misma, su conformidad con la   política ambiental establecida.

Demostrar tal conformidad a otros.

Buscar certificación/registro por parte de una  organización externa.

Hacer una autodeterminación y autodeclaración  de conformidad con la norma.

16. Fases en la Certificación

FASE 1: Visita preliminar (preauditoría)

FASE 2: Revisión de la documentación del SGA: Manual y procedimientos

FASE 3: Realización de la auditoria de Certificación

FASE 4: Otorgamiento del certificado

Auditorias de Seguimiento y de Renovación

17. MODELO DEL SGA ISO 14001
REQUERIMIENTOS DEL SISTEMA

La organización establece, documenta, implanta, mantiene y mejora

18. Qué es la Certificación/verificación?

Cuando un centro ha implementado un SGA (Sistema de Gestión ambiental) y quiere obtener un registro según la norma o el reglamento, ha de ponerse en contacto con una entidad reconocida independiente, para que esta entidad certifique/verifique que el SGMA del centro es conforme la norma específica.

19. Conclusión

En conclusión podemos decir que auque las normas ISO nunca han sido obligatorias, se han hecho necesarias en aquellas empresas que desean dar a conocer en el mercado global sus productos, y no solamente la calidad de ellos sino también la gestión que se realiza en la organización para disminuir los impactos negativos sobre el medio ambiente, es decir, asegurar la aceptación internacional.

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